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Quelle médecine douce choisir ?

Se soigner et prendre soin de soi avec des méthodes naturelles… Ostéopathie, chiropraxie, naturopathie, diététique, sophrologie : cinq médecines douces parmi les plus recherchées. Santéclair vous ouvre son carnet d’adresses de praticiens reconnus en vous proposant pour certains d’entre eux des tarifs négociés. Zoom sur ces spécialités qui font du bien.

Au sommaire

La naturopathie : apprivoiser la force vitale qui est en soi

L’ostéopathie : remédier aux déséquilibres structurels du corps

La chiropraxie : rétablir l’influx nerveux et libérer les blocages musculo-squelettiques

La diététique : le plaisir de manger équilibré pour prévenir la maladie et améliorer sa santé

La sophrologie : mieux gérer ses émotions, améliorer son bien-être, trouver la sérénité

Les avantages MySantéclair pour ses bénéficiaires

quelle médecine douce choisir

Qu’on les appelle médecines douces ou médecines alternatives et complémentaires, une chose est sûre : elles plaisent aux Français (1). La preuve, 87 % d’entre eux considèrent qu’elles sont utiles en complément de la médecine traditionnelle. 91 % jugent même que les médecines douces sont efficaces contre les petits maux. Mais la médaille a aussi son revers. Avec la multiplication des courants, des disciplines et des praticiens, le domaine est devenu une jungle où, bien souvent, l’absence de réglementation stricte laisse la voie libre aux arnaques et aux charlatans du bien-être.

Zoom sur ces spécialités pour comprendre qui fait quoi et chez qui aller.

La naturopathie : apprivoiser la force vitale qui est en soi

  • Pour quoi on y va : retrouver son poids de forme, aider à l’arrêt du tabac et autres addictions, gérer son stress et ses émotions, faire face aux troubles féminins (syndrome prémenstruel, ménopause…), problèmes de peau, allergies, insomnies, arthrose, maux de tête ou accompagnement du sportif.
  • C’est quoi l’idée : prévenir la maladie, conserver la santé, ou l’optimiser par un mode de vie plus sain. La naturopathie vise à équilibrer le fonctionnement de l'organisme par des moyens naturels et des méthodes thérapeutiques qui encouragent le processus d’auto-guérison du corps et défendent le capital santé.
  • Comment : la santé résulte d’un équilibre global, à la fois physique, énergétique, émotionnel, mental, spirituel, socioculturel…, pour lequel la personne s’engage à travers un programme d’hygiène vitale défini à l’issue d’un bilan. Les techniques sont diverses : changement d'alimentation, d’hygiène de vie, phytothérapie, massages, relaxation, activité physique, activités respiratoires, etc., et dépendent également de la façon de travailler du naturopathe. Prévoir 3 séances/an environ.
  • Qui peut être naturopathe : en l’absence de réglementation, tout le monde peut se dire naturopathe, même sans formation ! Cependant, il existe un cursus qui s’étend de 1 200 h à plus de 4 000 h. Le naturopathe fait preuve d’une grande écoute et respecte les traitements médicaux en cours.
  • Attention aux arnaques : choisissez de préférence un praticien référencé à l’Omnes (Organisation de la Médecine Naturelle et de l'Éducation Sanitaire) ou figurant sur l’annuaire Santéclair. Ils sont tous certifiés et justifient d’une formation minimale de 1 200 h.

 

L’ostéopathie : remédier aux déséquilibres structurels du corps

  • Pour quoi on y va : les problèmes vertébraux, respiratoires, digestifs, les douleurs costales ou articulaires, les tendinites mais aussi les maux de tête, vertiges…
  • C’est quoi l’idée : elle s’appuie sur une vision globale de la santé et du bien-être. Les os, articulations des membres et de la colonne vertébrale forment la charpente du corps. L’ostéopathie les utilise pour rééquilibrer les fonctionnalités altérées. Le principe étant qu’un dysfonctionnement à un endroit ou un choc émotionnel entraînent des répercussions sur une autre partie du corps par l’intermédiaire des tissus organiques qui enveloppent et chaînent entre eux les différents organes.
  • Comment : cette thérapeutique exclusivement manuelle recourt à des manipulations et des mobilisations osseuses ou musculaires non forcées ainsi qu’à des applications manuelles simples. Pour déterminer le traitement le plus adapté, l’ostéopathe questionne de façon approfondie le patient et procède à un examen physique.
  • Qui peut être ostéopathe : l’ostéopathie est une profession réglementée et l’usage du titre est soumis à l’obtention d’un diplôme agréé par le ministère de la Santé. La formation est de 4 860 heures sur 5 ans et porte sur 7 domaines d’enseignement.

 

La chiropraxie : rétablir l’influx nerveux et libérer les blocages musculo-squelettiques

  • Pour quoi on y va : pour prévenir, détecter et traiter des troubles musculosquelettiques, en particulier ceux de la colonne vertébrale, des membres mais aussi des articulations. La chiropraxie prend en charge les douleurs du cou, du bas du dos, les sciatiques, lumbagos, torticolis, mais également les céphalées d’origine cervicale, troubles fonctionnels viscéraux, douleurs de la mâchoire
  • C’est quoi l’idée : pour la chiropraxie, les fonctions organiques du corps humain sont influencées par l’énergie vitale transmise par le système nerveux au corps via la colonne vertébrale. En intervenant sur les anomalies vertébrales, la chiropraxie normalise le courant électrique qui restitue au corps humain ses facultés de récupération. 
  • Comment : le chiropracteur établit un plan de traitement et à cette fin, peut demander des examens complémentaires d’imagerie. La thérapeutique repose principalement sur des actes de manipulations et de mobilisations vertébrales, appelés aussi "ajustements". Le praticien peut avoir recours à des appareils spécialisés. Il peut aussi donner des conseils de prévention sur des postures, en matière de nutrition ou d’hygiène de vie.
  • Qui peut être chiropracteur (ou chiropraticien) : la chiropraxie est une profession réglementée. Le titre de docteur en chiropraxie qui permet de manipuler les cervicales sans certificat médical est réservé aux personnes justifiant du diplôme délivré par l’Institut franco-européen de chiropraxie (Ifec), seule école habilitée en France. La formation se déroule sur 5 ans et comprend des stages.

 


 

Chiropraxie et ostéopathie, quelle différence ?

Chiropraxie et ostéopathie, deux méthodes manuelles, apparemment proches mais qui comportent pourtant des différences : cursus de formation, réglementation … et pratiques bien sûr !

La chiropraxie s’attache à des zones ciblées, principalement la colonne vertébrale et les articulations quand l’ostéopathie, dans une approche plus globale vise à équilibrer les différentes structures du corps pour rétablir la mobilité d’une d’entre elles.

S’agissant des techniques, le chiropracteur a recours selon la situation à des mobilisations douces ou énergiques qui peuvent être mécaniquement assistées. Le chiropracteur qui traite les problèmes d'origine fonctionnelle et pathologique est seul autorisé à manipuler les cervicales.

L’ostéopathe concentré sur les problèmes d’ordre fonctionnels, intervient par des mobilisations ou des manipulations en se portant sur les tissus mous, les muscles et les ligaments.

 


 

La diététique : le plaisir de manger équilibré pour prévenir la maladie et améliorer sa santé

  • Pour quoi on y va : son équilibre alimentaire et son hygiène de vie afin d’améliorer sa santé générale, perdre ou gagner du poids ou de la masse musculaire. La diététique est recommandée en cas d’arrêt du tabac, pour certaines grossesses, pour les sportifs de haut niveau. Elle est aussi indiquée dans la prévention et le traitement de nombreuses maladies chroniques, cancer, obésité, diabète...
  • C’est quoi l’idée : assurer les apports nutritionnels adaptés à l’état de santé des personnes en tenant compte de leur mode de vie et de leur capacité d’adaptation à de nouvelles règles alimentaires sans sacrifier le plaisir lié à l’alimentation. Prévenir, éduquer et améliorer la santé sont les objectifs de la diététique.
  • Comment : le diagnostic diététique réalisé à la demande d’un particulier ou d’un médecin détermine le programme nutritionnel (objectifs, actions, évaluation), qui sera convenu entre le professionnel de santé et la personne concernée. Ce programme évolue au fil du suivi en fonction des avancées ou difficultés de mise en œuvre constatées.
  • Qui peut être diététicien : cette profession paramédicale réglementée exige un diplôme d’Etat qui s’obtient soit en 2 ans pour le BTS diététique, soit en 3 ans de cursus en BUT - génie biologique spécialisation diététique.
  • Bon à savoir : diététicien et nutritionniste, quelles différences ? Si le diététicien est un paramédical habilité à mettre en place des régimes personnalisés, adaptés au métabolisme et aux habitudes alimentaires, de ses patients, le nutritionniste, médecin spécialisé en nutrition, s’occupe de cas plus lourds et peut prescrire des médicaments.

 

La sophrologie : mieux gérer ses émotions, améliorer son bien-être, trouver la sérénité

  • Pour quoi on y va : insomnie, anxiété du quotidien ou stress lié à un enjeu particulier (examen, concours, compétition, deuil…), la sophrologie permet aussi de mieux gérer la douleur, grossesse, accouchement, traitement contre le cancer, ou encore phobies. Plus étonnant encore, de nombreux malentendants ont recours la sophrologie pour apprendre à s’habituer aux acouphènes.
  • C’est quoi l’idée : la sophrologie est une synthèse de pratiques occidentales comme l’hypnose, la relaxation ou la suggestion positive et de pratiques orientales empruntées aux techniques de méditation et de yoga. Cette démarche psychocorporelle fait appel à des exercices précisément codifiés qui agissent à la fois sur le corps et le mental.
  • Comment : aucun toucher dans cette méthode exclusivement verbale qui marie exercices de respiration, de décontraction musculaire et de visualisation mentale guidée par la voix du sophrologue.
  • Qui peut être sophrologue : la formation repose sur des diplômes universitaires (DU), à la main des établissements. Il n’y a donc pas de diplôme d’État de sophrologue et il n’est pas nécessaire pour exercer la profession, de posséder un DU inscrit au Répertoire national de la certification professionnelle (RNCP). Malgré tout, cette inscription est une garantie de compétence.

 

Les avantages MySantéclair pour ses bénéficiaires

Pour ses bénéficiairesMySantéclair ouvre son carnet d’adresses de praticiens alternatifs reconnus pour cinq médecines douces parmi les plus recherchées : ostéopathie, chiropraxie, naturopathie, diététique, sophrologie.

Attention, avantages à la clé :

  • Tous les praticiens référencés par Santéclair sont diplômés et sélectionnés en fonction de leur formation et expérience et vous réservent des séances de qualité.
  • Un annuaire répertoriant 1 000 naturopathes tous adhérents de l’Omnes ; 2 000 praticiens ostéopathes et chiropracteurs dont 370 praticiens partenaires ainsi que des praticiens reconnus par leurs pairs et recommandés ; 390 diététiciennes partenaires, toutes diplômées et avec au moins 5 ans d’expérience ; 2 200 sophrologues et naturopathes reconnus par leur pairs et adhérents au Syndicat des Sophrologues Professionnels (SSP) ou à la Fédération des Écoles Professionnelles en Sophrologie (FEPS).
  • Des tarifs avantageux : -15% chez les diététiciennes et sophrologues partenaires Santéclair (2)
  • La possibilité de géolocaliser les praticiens par domaine et discipline et public : enfant, adolescent, adulte, sénior.
  • Des informations pratiques pour sélectionner votre praticien : tarifs, motifs de consultation, public privilégié…

 

Trouver votre praticien en médecine douce

 

  1. Étude « Les Français et les médecines douces » Harris Interactive/Santéclair - Observatoire des parcours de soins des Français – Juin 2019
  2. Par rapport aux prix pratiqués par un échantillon de professionnels de la santé référencés par Santéclair n’appartenant pas au réseau. Étude réalisée en mars 2022 par Santéclair comparant les prix pratiqués par les professionnels partenaires du réseau aux prix pratiqués par cet échantillon.